La Société Franco-Allemande existe depuis 80 ans et compte aujourd´hui plus de 600 membres actifs. Par notre programme de conférences et de manifestations culturelles, nous assurons une meilleure compréhension franco-allemande et facilitons l’entente entre les deux pays.
La Société Franco-Allemande propose un programme de manifestations, où alternent langues française et allemande, et aborde
- les sujets politiques en accueillant ministres, ambassadeurs de France et d’Allemagne, en commentant les élections françaises avec des journalistes français et allemands
- les enjeux du monde de la finance et de la coopération industrielle avec les principaux décideurs économiques et financiers des deux pays
- les aspects culturels, en assurant des conférences sur l’Histoire, des concerts et visites privées lors d’expositions d’artistes français organisées par les musées de Francfort.
L’histoire de la SFA contient tous les arguments qui nous importent. L’argument « plus jamais la guerre » est dépassé. C’est un acquis décisif pour deux pays qui se faisaient la guerre en moyenne tous les 50 ans au cours des siècles derniers. Il s’agit de dépasser les stéréotypes afin de faciliter la communication entre les deux pays.
Les incompréhensions ne manquent pourtant pas : la crise des banlieues, le « non » français au référendum sur le projet constitutionnel surprennent tout comme la panne du « modèle rhénan ».
Nos conférences collent à l’actualité et permettent un débat ouvert avec les principaux décideurs des deux pays. Nos soirées culturelles, qu’il s’agisse de concerts, d’expositions ou de conférences historiques, sont autant d’invitations au voyage.
Afin de faciliter une meilleure compréhension réciproque, il nous paraît également important de l’institutionnaliser : c’est la raison pour laquelle nous avons créé le « Dialogue Franco-Allemand » avec la Ville de Francfort, ou la Chaire d’Economie francophone Raymond Barre à l’Université de Francfort, ou encore lancé la « Semaine du cinéma français » avec le Deutsches Filminstitut et l’Institut Français.